Dans un post récent Luc Malpeyre croyait révéler que : « Perpignan : L’opération immobilière autour de la gare TGV va-t-elle dégénérer en fiasco économique, pour cause de non passage de la future Ligne à Grande Vitesse ? » Mais c'est comme découvrir que l'eau ça mouille . Le fait était prévisible et avait été prévu, il y a longtemps par les chroniqueurs de l'archipel contre attaque
Gare de Perpignan : aujourd'hui centre du monde, demain centre de l'univers !
La couillonade del "Centre del Mon" de Perpignan
. Sauf que peut être à l'époque, on arrivait par à croire à l'énormité, comme pour le théâtre de l'archipel. Déjà, il faut savoir que la plupart des gares TGV sont construites à l'extérieur. Ici il n'y aura pas d'exception :le couloir ferroviaire des 1 000 mètres de la future LGV « n’était pas prévu pour passer par Perpignan, mais qu’il serait bien dessiné sur un tracé Pollestres-Le Soler… »L'entreprise espagnol Metrovacesalink qui a investi dans le projet immobilier peut se sentir floué par Jean-Paul Alduy .Et ce n'est pas l'administration judiciaire qui y sera transférer qui fera sa fortune, et encore moins des logements sociaux. Le fait que le TGV tarde à arriver et que lorsqu'il arrivera, ce sera dans un contexte d'économie en chute libre...bref s'était couru d'avance. Metrovacesa apprendra comment on fait fortune en Catalogne Nord : on achète un Jean-Paul Alduy au prix qu'il vaut . Et on le revend au prix qu'il dit valoir !