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Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
5ans que le restaurant "les épicuriens" existe et participe au "vivre ensemble" du quartier , ou mieux où l'on fait société entre l'ouverture de restauration dite "Halles Vauban" et l'attente des étudiants du "campus Mailly". comme on attendrait "Godot" il dresse un bilan de son commerce et du commerce centre ville
Situé de l'autre coté la Têt en face du théâtre de l'archipel suivre à pied la passerelle , "L'arbre à vin" est une cave à vin restauratrice où vous pourrez déguster de bon fromages et de l'excellente charcuterie sur les recommandations du patron Marc Panis.
Adresse :74 Avenue Louis Torcatis, 66000 Perpignan
Dans une période qui s'aseptise, où il y a un parfum de dénégation de lutte des classes pour mettre en avant la lutte des places des premiers de cordée harcelés par les passions tristes de la jalousie de la France d'en bas en sous France, qu'il est bon de réécouter une musique qui savait ce que c'était que la protestation . On pense au rock, au punk, à la folk, mais le jazz a aussi été un vecteur protestataire."Attention l'armée" est la réédition d'un jazz des année 70 qui ne mâchait pas ses mots.
"Et toi .. ! Avec ton char qu'est-ce que tu fous sur mon champ ?". Le ton est donné, le ras-le-bol est général.
Présentation des activités photographiques de l'association BOP ainsi que de sa revue "Photo Analogies".par Arnaud de Grave animé par Nicolas Caudeville à la librairie Torcatis rue Mailly à Perpignan à 11 heure
Perpignan: présentation du Mag de photo argentique 'photo analogie' à la librairie Torcatis! interview Arnaud de Grave par Nicolas Caudeville
Il en a vu des halles et des marchés l'ami Jean Lhéritier de Tokyo à New-York . Il en a le goût et l'expertise. 2 halles viennent de s'ouvrir après des années de disparition de la halle historique située place de la république (la halle en acier )
Le "Carré Arago" proposera en rez-de-chaussée huit étals d'artisans orientés bio : fromages, fruits et légumes, poisson, pain et pâtisseries, boucherie, charcuterie, cave à vin etc...La halle Vauban elle est pour 2/3 dédiée à la restauration . L'avis de l'espert Jean-Lhéritier
Gildas Girodeau est un écrivain qui a de la mémoire et le sens de l'histoire . Dans ce troisième roman publié aux éditions "au_delà du raisonnable tenu de mains de maître par Véronique Ducros, il revient à ses premières amour le polar. Un polar qui flirte toujours avec les fantômes de l'histoire, l'histoire de France et celle aussi de son empire défunt, avec toujours son lot de soldats perdus (pas pour tous le monde) . Un mort à Canet, une flic de Perpignan. Un rite yoruba et l'Argentine de la dictature qui lutta contre "les rouges" en filigrane ... La monomanie de Gildas Girodeau faire ré-ouvrir les fosses communes de l'histoire comme dans la Catalogne post-franquiste de "La paix plus de la vérité", pour que les bourreaux n'aient pas le dernier mot..."Xango" avec un Gildas Unchained! interview bande annonce
Voir aussi:
Gildas Girodeau écrivain regards sur les "événements" de Catalogne! interview par Nicolas Caudeville
Un projet sans vrai concertation publique, ni information complètes sur les tenant et les aboutissant et les vrais bénéficiaires (pas tant ceux qui vont utiliser le gaz, les allemands, que ceux dont le sol est exploité et polluer #gazdeschiste sans qu'ils ne touchent rien) , c'est à dire qui aura la fiducie, quels actionnaires auront la joie de se gaver avec la complicité de la commission européenne qui supporte le projet https://www.step-tigf.fr/ et qui en vante l'aspect de "concertation et au bénéfice des territoires, respectera les enjeux environnementaux, sociétaux et de sécurité."
Puisque que c'est si bon pour le territoire, fera-t-on un vrai référendum sur le sujet ou distribuera-t-on des actions gazières aux habitants du territoires?
Il est évident que non . Mais en "démocrature", il faut une façade démocratique conserver. Des collectifs et des associations se dressent déjà contre le projet. Y aura-t-il une ZAD (zone à défendre) un notre dame des Aspres . L'entreprise italienne qui est promotrice du projet à déjà fait un gazoduc équivalent en en Azerbaïdjan, on peut donc déjà présumer de l'impact écologique, hors le fait que ce soit de l'extraction de gaz fossile facteur aggravant du dérèglement climatique. A la commission européenne, il y a toujours deux discours, la protection de la planète et le langages plus silencieux des bénéfices .
Nous avons interrogé Philippe Assens représentant de l'avenir en commun 66, qui nous explique, les tenants et les aboutissants du projet pour les citoyens et nous éditons aussi le manifeste de défense que les collectifs ont rédigés, ainsi qu'une affiche plus haut.
Nous attendons aussi les différents positionnements des élus, voir des universitaires et de leurs universités... . Et aussi, s'il y a des comités de défense en Catalogne Sud, feront-ils jonction avec ceux du Nord...Il était une fois en Roussillon, un western en perspective...et pour quelques dollars de plus
Manifeste contre le gazoduc transfrontalier Aude et Pyrénées Orientales-Décembre 2017/Janvier 2018 Le projet MidCat ressurgit sous un autre nom STEP (South Transit East Pyrénées), un autre format, et dans une concertation préalable précipitée portée par la société TIGF (Transports et Infrastructures Gaz France) pour en faciliter l’implantation, mais avec les mêmes objectifs. Un gazoduc d’interconnexion qui irait de la frontière espagnole jusqu’à Barbaira près de Carcassonne, en traversant le Roussillon et l’Aude. Une infrastructure au coût annoncé, de l’ordre de 290M€. Ce gazoduc est inscrit dans les projets d’intérêt commun (PIC) européens et de ce fait est éligible à d’importants financements publics européens. L’objectif du projet d’interconnexion gazière promue par l’État espagnol est d’accroître fortement la capacité d'exportation de gaz "naturel" de la péninsule ibérique vers l'Europe pour trouver des débouchés au gaz importé via ses terminaux méthaniers gaz, pourrait inclure du gaz de schiste provenant du nord du Sahara, dont l’exploitation par la fracturation hydraulique est interdite en France Ce projet démesuré a démarré en Catalogne par un premier tronçon (Martorell-Hostalric) en 2011- 2012. MidCat a été arrêté en 2014, la France ne cautionnant pas son utilité. Le PNUE (Programme des Nations Unies pour l’environnement) a publié une étude alarmiste en novembre 2017, soulignant qu’après deux ans de stabilité les émissions de gaz à effet de serre repartaient à la hausse. Alors que l’inutilité de ce projet pour la sécurité d’approvisionnement de la France est reconnue par de nombreux acteurs et que l’analyse coût-bénéfice le remet en question, il est inacceptable que de l’argent public le finance. De plus, le STEP, première pierre du projet plus large Midcat, n’est qu’un projet d’infrastructure gazière parmi d’autres qui fleurissent en Europe, au péril d’un avenir libéré des énergies fossiles. L’enjeu prioritaire aujourd’hui porte sur les mesures à prendre pour lutter contre le changement climatique. En 2016, l’augmentation de la température globale a atteint +1,1°C par rapport à l’ère préindustrielle et nous observons déjà les conséquences sévères du dérèglement climatique. Les signataires du manifeste contre le gazoduc transfrontalier s’insurgent contre ce projet et veulent que la lutte contre le changement climatique, qui constitue l’enjeu majeur pour la planète, soit la priorité d’action des politiques publiques. C’est pourquoi nous demandons : • de stopper l’avancement du projet STEP • un débat public sur l’opportunité de ce projet, s’appuyant sur une expertise indépendante, • la publication officielle de l’étude Poyri, commanditée par la Commission européenne, livrant une analyse coût-bénéfice du projet indépendante. • l’étude de solutions alternatives pour faire baisser les consommations d’énergie et développer les énergies renouvelables sur le territoire • l’arrêt des financements publics aux énergies fossiles, • l’arrêt de toute nouvelle construction d’infrastructure pour les énergies fossiles • des productions d’énergies renouvelables au plus près des consommations dans chaque territoire, • que notre territoire ne soit pas un lieu de transit pour les énergies fossiles, • que les investissements européens soient alloués à l’éradication des passoires énergétiques dans l’habitat et au développement des énergies renouvelables. Les signataires du manifeste réfutent les arguments de la société TIGF porteuse du projet STEP : prix plus compétitifs, sécurisation des approvisionnements en gaz en Europe - La nécessité d’une sécurisation des approvisionnements n’est pas démontrée : la commission de régulation de l’énergie (CRE) souligne la surcapacité existante sur le marché du gaz. - La baisse du prix du gaz pour le consommateur est une illusion Des prix compétitifs qui signifieraient selon la loi du marché baisse des prix pour le consommateur est encore une illusion énoncée par le porteur du projet. En effet, la taxe carbone a pour objectif annoncé, de donner un « signal prix » aux énergies fossiles pour en baisser la consommation. De plus, la construction d’une nouvelle infrastructure gazière d’interconnexion non rentable serait plutôt susceptible de faire monter le prix du gaz sur le marché. et alertent sur les conséquences préjudiciables d’un tel projet pour le territoire: - impact fort pour l’environnement : sur un couloir de passage de 30 m de large et 120 km de long (côté français), une canalisation enterrée fracturera les terres agricoles, les zones naturelles, dont la forêt de chênes liège des Albères ce qui laissera une cicatrice indélébile dans les paysages. -entrave à l’écoulement des eaux des nappes superficielles, dans des territoires déjà fragilisés par la sécheresse. -atteinte grave à l’économie locale : agriculture et tourisme. Pour éviter l’emballement du dérèglement climatique, il faut sortir le plus vite possible des énergies fossiles, alors que le projet STEP et toutes les nouvelles infrastructures gazières qui fleurissent en Europe nous enfermeraient dans un avenir fossile pour des décennies. Pas un euro de plus pour le gaz fossile ni ses infrastructures
Vendredi dernier, le facétieux restaurateur des épicuriens place Rigaud à Perpignan, David Tranchecoste, mettait un écriteau sur sa page Facebook indiquant qu'il recherchait d'urgence 12 cuisiniers , 16 serveurs, pour l'arrivée des étudiants au campus Mailly. La rédaction étant faite dans l'exagération, il ne pensait pas que son annonce serait prise au premier degré . Celle-ci fut rapidement énormément partager et commenter. Des CV's lui furent communiqués en message privée. Puis le lendemain des personnes vinrent déposer leur CVs et proposer leur service , sans compter les coups de téléphone. Le président Emmanuel Macron qui trouve que les chômeurs ne cherche pas assez de travail et veut les faire surveiller dans ce cas précis, est désavoué.
Deuxièmement, il y a aussi qu'aujourd'hui lundi , les premiers étudiants en droit arrivaient sur le Campus Mailly, et que compte tenu des investissements de la ville de Perpignan , les commerçants du quartier, à qui on avait vanté cette manne, attendaient leur "retour sur investissement". Finalement, David Tranchecoste aura vu plus de CVs dans son établissement que d'étudiants!
Ramon Faura-Llavari en direct sur l'archipel contre attaque: l'office de la langue catalane https://www.laregion.fr/L-Office-public-de-la-langue-catalane-sera-un-veritable-outil-de est il un trompe l'oeil de plus prétexte à caser ses amis et calmer les ardeurs locales des catalanistes après le camouflet de l'absence de notre territoire dans le nom de la région Occitanie ?
Suite à un article de l'indépendant http://www.lindependant.fr/2017/12/22/p-o-80-des-parents-veulent-des-cours-de-catalan-pour-leurs-enfants,3082272.php qui faisait état d'un sondage dans lequel 80% des parents des PO étaient pour l'enseignement du catalan à leurs enfants, Ramon Faura s'est interrogé sur les réseaux sociaux sur l'utilité du nouvel office pour la langue catalane mis en place par la région Occitanie, le débat fut âpres. L'archipel contre attaque s'est étonné qu'il ne fut pas invité à la commission pour la construction de l'OPLC , lui qui est un flamboyant diffuseur de la langue et culture catalane au travers des 13 compilation de groupes locaux (soit plus de 100 qu'il a fait chanter en catalan, alors que ce n'était pas la langue maternelle du groupe) et leurs concerts.
Mais n'ont été invité que les "tenants" du sujet du catalanisme , qui, si on considère autre chose que leurs discours et l'agitation de drapeau n'ont pas été très efficace pour la diffusion de la langue et de la culture catalane . Comme par exemple l'université de Perpignan, qui les a reçu n'ai toujours pas nommé de représentant pour le réseau des universités des pays catalans 'Institut Joan Lluis Vivés http://www.vives.org/ pour lequel elle paye pour autant ça cote part depuis des années (avec toutes les possibilités laissées en jachère qui vont avec).
Ramon Faure reviens sur le "catalanisme alimentaire " où chacun tiens boutique pour obtenir des subventions et n'est pas dans l'esprit du "fer pays"
Catalogne: pour Nicolas Garcia, on ne peut pas tolérer qu'il y ait des prisonniers politiques dans une Europe 'démocratique'! interview par Nicolas Caudeville
Après l'élection le retour au statu quo . Voilà un taux de participation record de plus de 70%. Avec le partie unioniste Ciutandans arrivé devant mais par le jeu de la pondération du système politique catalan, Inés Arrimadas ne sera pas la prochaine présidente de la Généralitat de Catalunya, mais sera un des représentants d'un des 4 partis indépendantistes (Junts per Catalunya, ERC, Catalunya en Comu et la Cup) . Dans la mesure où le premier ministre du Partido Popular, l'homme qui a déclenché le fameux article 155 de la constitution espagnole, qui permis la suspension de l'autonomie de la Catalogne, sa mise sous tutelle par Madrid et la convocation de ces dernières élections. L'ex-président de la Généralitat Carles Puigdemont veut bien rencontrer le premier ministre Rajoy partout en Europe sauf en Espagne (il se méfie aussi des prisons turques) ., Il n'est pas question pour Rajoy de lui parler, et dans sa conférence le même Rajoy averti les indépendantistes que ce n'est pas parce qu'ils viennent de gagner la présidence qu'ils pourront mener la Catalogne à l'indépendance. La situation est sans issue et il n'y aura pas de trêve des confiseurs. Il s'agit donc de trouver des "messieurs les bons offices" pour négocier sur le sujet "une cote mal taillée" https://fr.wiktionary.org/wiki/cote_mal_taill%C3%A9e vu l'équilibre des forces. Revenir comme base de négociation sur le statut d'autonomie voté par le parlement catalan en 2006, puis en 2010 par le parlement espagnole , puis retoqué par un conseil constitutionnel espagnol aux mains du Partido Popular. Parce que c'est à partir de se moment que la révolte démocratique des catalans a commencé. Des manifestations chaque 11 septembre de plus en plus grandes, pacifistes, jusqu'au référendum du premier octobre dernier sa répression violente, ses arrestations et les multiples avanies infligées aux catalans et à la Catalogne, on vu arriver le conflit de loin sauf pour les borgnes qui ne voulaient pas entendre. Donc, on négocie sur le statut de 2006, à quoi on rajoute un plus pour le dérangement et le préjudice morale. Et on se quitte bons amis, merci pour le moment, signez en bas. La France est le pays le mieux désigné pour jouer se rôle, si elle ne décide pas de rester figer dans ces anciennes positions (bancaires) . Il est urgent pour tout le monde d'avoir ce qu'on appelait avant en droit pénal français: "un intervalle de lucidité"... Car il ne faut pas compter sur l'Europe libérale, plus passionnée d'argent que de démocratie. Cette phrase de Cioran leur va à merveille:" Ne nous suicidons pas tout de suite, il reste encore quelqu'un à décevoir!"
L'archipel contre attaque était présente le jour du vote à Barcelone...
Parti des 8 heure du matin sous la couverture d'un camion frigorifique pour une livraison de surgelés, on a arrive à 10 heure dans le quartier bourgeois de Pédralbes sur les hauteurs de Barcelone. Le quartier est tranquille, et aux fenêtres , on aperçoit plus de drapeaux espagnoles que catalans.
Plus on redescend dans Barcelone, plus il y a d'activité et de drapeaux catalans aux balcons. Place Francesc Macia sr la Diagonale, je finis par prendre un taxi, pour rendre place Catalogne. Dans le taxi je commence à parler catalan, le chauffeur me répond en Catalan avec courtoisie, mais je sens qu'il préfère le castillan. Nous discutons de la violence du référendum à Barcelone et sur le fait, que bien nous soyons un jour d'élection la ville avait retrouvé sa tranquillité (s'il avait fallu voter un dimanche dans le temps imparti par le déclenchement de l'article 155, il aurait fallu voter un 24 décembre) . Place Catalogne, je prends mon "taillat"(noisette) avec une "enseimada" (viennoiserie des Baléares) en observant les gens, attendant l'arrivée de mon ami Fédéricco, un argentin dont le père est Barcelonais de naissance et avec qui nous avions fondé (avec bien d'autres encore) il y a 20 ans l'association des jeunes des casals catalans du monde, sous le haut patronage de la Généralitat et de son président d'alors Jordi Pujol. Je lui demande comment il ressentait l'ambiance à Barcelone depuis le référendum. Il m'explique que dans les familles , les gens sont divisés. Lui avait voté Puigdemont, mais dans la famille de sa compagne, s'était plus tendu. Il repart au travail . Et l'ami Fabien Palem, correspondant pour l'Indépendant me rejoint pour un café. Le garçon qui avait pour ses études écrit un mémoire sur les gitans de Perpignan et leur posture pour les élections municipales de Perpignan en 2014, connait bien Barcelone où il a vécu, parle couramment catalan et espagnol . Il avait passé sa matinée dans les bureau de la ville pour un article. Après un café, il finit par m’amener à l'université centrale de Barcelone qui fait aussi office de bureau de vote. Des gens de tous ages font la queue pour déposer leur bulletin dans l'urne. Des télévisions étrangères et locales des photographes rapportent l'ambiance et la situation. Des assesseurs étiquetaient au logo de leur parti observaient ce que chacun présentait comme un piège de l'autre. Nous avons interviewé deux d'entre eux :Josep Esquira assesseur pour l'ERC et un camarade la CUP, deux partis de la gauche indépendantiste. Il raconte leur campagne, leurs espérances et s'interrogent :" que ferons nous demain si nous gagnons?"
La traduction simultanée est faite par le camarade Fabien...bon profit
Voir aussi:
Référendum en Catalogne: el império contrattaca! une journée dans les bureaux de vote à Figuéres! interview par Nicolas Caudeville et Jean Lhéritier