Perpignan: proposition pour l'usage du théâtre municipal à destination du public par Patrick Sommier
Eni et Hong étaient en direct pour l'archipel contre attaque pour présenter le restaurant traiteur La Cuisine De Chi Diep
9 rue du théâtre à Perpignan +33 9 51 54 97 70
LA CUISINE DE CHI DIEP, Perpignan - Restaurant Avis, Numéro de Téléphone & Photos - Tripadvisor
La Cuisine De Chi Diep, Perpignan : consultez avis sur La Cuisine De Chi Diep, noté 4 sur 5 sur Tripadvisor et classé #452 sur 509 restaurants à Perpignan.
Intermittents en lutte à Alénya
Rencontre Àcentmètresducentredumonde- interview l'Archipel contre attaque 1 - Rencontre dédicace à Torcatis 2 - interview l'Archipel contre attaque 2.
Le Passé opprimé sont des essais filmiques qui prennent la forme d’une dérive cinématographique. Nous accompagnons le poète tout autant que le philosophe dans son exploration du XIXe siècle parisien et de ses « passages » artistiques, culturels, historiques et théoriques. Ce qui est révélé au cours d’une telle exploration est une préfiguration de l’époque de Benjamin, comme de la nôtre. La flânerie parisienne initiale « de passage en passage » annonce de façon belle et significative la dérive situationniste et la psychogéographie. Cette flânerie devient, au fil des actes des deux films, une remise en cause de l’imaginaire fantasmatique de Paris au XIXe siècle, puis l’expression métaphorique d’un déplacement bien plus vaste dans le temps et l’histoire. Nous suivons le cheminement intellectuel de Benjamin qui, par une approche historique fondée sur la remémoration, en vient à contester le présent au nom du passé opprimé et à formuler une nouvelle pensée et conception de l’histoire. Réalisée à partir d’un montage d’écrits de Walter Benjamin, la voix-off des deux films traduit, à la première personne, son errance physique et intellectuelle dans le Paris du XIXe siècle, comme dans sa propre époque, celles des décennies 1920 et 1930. Elle donne à entendre la constellation des thèmes qui viennent tous contester l’image historiciste de Paris et plus globalement encore de l’histoire elle-même. La traversée critique du passé parisien est pour Benjamin une manière d’évoquer les dangers qui menacent son propre présent, tout comme le film entend le faire du nôtre. Les deux essais filmiques entrecroisent des thématiques qui, avant Benjamin, étaient toujours considérées de manière séparée. Nous explorons ce qui lie le nouveau Paris d’Haussmann « l’artiste démolisseur » à la Bourse, au capitalisme, aux chemins de fer, aux rêves d’avenir, aux barricades de la Commune de Paris et aux utopies révolutionnaires. Nous confrontons le monde de reflets des marchandises aux vitrines de magasins, aux cafés, aux Passages, aux Grands magasins, aux intérieurs bourgeois, à l’architecture en métal, aux expositions universelles et au mythe du progrès. Nous croisons les figures de la mode, de la prostitution, de l’oisiveté, de Baudelaire, du moderne et de l’éternel retour. À partir d’une déambulation urbaine et historique d’où surgissent les « images dialectiques » nous accompagnons Benjamin dans sa reformulation des notions de rêve, de réveil et de révolution. Par une nouvelle approche du temps et de l’histoire Walter Benjamin développe une théorie critique qui réfute le mythe du progrès et reformule entièrement les termes de la modernité et d’une culture toujours exposée à la barbarie. Pour ne pas réduire sa pensée à une accumulation de concepts abstraits, il confronte ses intuitions théoriques à l’histoire de la photographie, aux questions soulevées par la reproductibilité des œuvres d’art, à l’aura, à la trace. Il récuse, à partir d’exemples concrets, l’historicisme au nom de la remémoration, qu’il oppose à la mémoire ; du réveil, qu’il oppose à la catastrophe. Selon Benjamin, puisque le collectif qui rêve ignore l’histoire, il faut que le rêveur s’éveille. Pour y parvenir, pour que les choses ne continuent plus comme avant, pour éviter la catastrophe, il en appelle à dynamiter le cours de l’histoire officielle au nom du passé opprimé et refoulé. Les deux essais filmiques reconstituent la pensée et le monde du philosophe et du poète en un édifice filmique composé d’innombrables archives dynamiques. Celles-ci rassemblent des photographies et des fragments de films : les photographes que Benjamin a aimés, comme les films et documentaires qu’il a pu voir. Le film est organisé comme une déambulation en spirale qui donne à voir et à comprendre, tout autant le XIXe siècle parisien, que notre XXIe siècle. À la manière de Benjamin, les images qui composent les deux films ne sont plus seulement des images du passé, mais des images du présent : d’un présent toujours en péril. Elles expriment au plus près les idées, les intuitions du philosophe et du poète. Les deux essais filmiques témoignent de la cohérence d’une pensée qui organise les fragments comme des moments constitutifs d’un projet unitaire, mais, hélas ! inachevé. Un tel projet retourne la dialectique négative en mettant en avant sa part de positivité ; il attribue un rôle messianique à chacun et fournit des armes théoriques pour éviter la catastrophe. Au nom d’un passé qui n’est jamais le même de par son histoire postérieure et son histoire antérieure, au nom d’un passé vaincu qui vient saturer le présent jusqu’à le remettre en cause, Walter Benjamin Paris capitale du XIXe siècle et Walter Benjamin Le Passé opprimé invitent le spectateur à un retour possible vers un autre futur.
Dans la première partie de ce récapitulatif trimestriel, nous avons abordé l’influence du maire de Perpignan sur les élections locales, les choix des derniers recrutements, la gestion interne de la mairie, la culture et surtout tout ce que révèle sa communication actuelle.
Il reste des informations à rappeler sur les mobilités et les aménagements en cours. Mais pour commencer il me semble important de s’intéresser aux diverses tensions sociales de la ville. Des faits divers mais aussi certains indicateurs statistiques révèlent une souffrance de la population perpignanaise. Souffrance qui ne semble pas être la priorité de cette municipalité.
** « voyoucratie », tensions sociales et pauvreté
La communication sur la sécurité est presque inexistante ce trimestre. Un autre sujet de communication encore plus absent est la situation économique et les nombreuses difficultés rencontrées par la population de Perpignan.
*Une misère ignorée du conseil municipal de Perpignan
-Les collectes citoyennes pour les étudiants de Perpignan
En l’absence de décisions des élus de Perpignan, des citoyennes et citoyens de Perpignan se sont mobilisés pour essayer de pallier la pauvreté grandissante chez les étudiants. Par exemple le 12 mars 160 repas sont distribués aux étudiants de l'Université de Perpignan par "La Cuisine des Mamas" !
- +30% aux du Restos du Cœur
Le 5 mars 2021 une déclaration dans la presse aurait dû préoccuper les élus de Perpignan : «Jocelyne fait le bilan : "Ce soir il n'y avait qu'un ou deux nouveaux, mais il y en a quand même à chaque fois. Il y a un problème, la situation sociale s'aggrave. On a enregistré plus de 30% de bénéficiaires supplémentaires depuis le début de la crise sanitaire."».
-Un certain nombre de logements insalubres à Perpignan
La presse communique le 23 mars sur des villas livrées il y a deux ans souillées par la moisissure rue Manitas-de-Plata, cité Bellus à Perpignan. Invivables pour leurs locataires qui menacent désormais de consigner leurs loyers.
Le 27 mars Bougetoit66 déclare dans la presse qu’à Perpignan 15% du parc locatif est vacant soit 10 000 logements non occupés.
-Le statut des écoles perpignanaises signe indirect de l’appauvrissement de la ville
La presse communique le 26 mars au sujet d’une récente étude d’un syndicat du primaire dans le département, qui pointe du doigt le quasi-doublement des écoles classées en réseaux d’éducation prioritaire depuis 2009 à Perpignan.
-Le Territoire Zéro Chômeur à Perpignan attendra
Louis Aliot avait fait une promesse surprenante pour le RN pendant la campagne électorale en annonçant la mise en place d’un dispositif Territoire Zéro Chômeur. 9 mois après aucune information n’est parvenue de la mairie.
La région étudie les projets avec les associations et les mairies candidates. Le 25 mars la presse annonce qu’à « Perpignan le projet n’est pas mature, il n’y a que l’association ACDS et pas encore la collectivité ».
-une municipalité qui augmente les frais de réception
Au cours du Conseil municipal de Perpignan du 25 mars une conseillère d’opposition déclare "En pleine crise sanitaire, comment arrivez-vous à augmenter les frais de réception ?". En effet ils sont passés de 83 500 € à 121 500 € (l’opposition souligna aussi une baisse de 50% des dépenses de réparation des voiries).
*Une nouvelle origine de prostitution
Le 2 mars, une opération conjointe des polices française et espagnole a conduit à l'arrestation d'une quinzaine de personnes impliquées dans un vaste réseau de prostitution. À Perpignan, trois personnes ont été interpellées dans un hôtel de la ville, tous les trois soupçonnés d'être des membres actifs de ce vaste réseau roumano-colombien et d'avoir largement participé à la logistique en assurant le recrutement, le transport et le logement des prostituées qu'ils auraient exploitées.
Le 22 mars la presse communique que depuis la fermeture de la frontière, certaines prostituées de la Jonquera se sont rabattues sur Perpignan. Aux abords des allées Bausil, près de la grande Poste, les riverains décrivent un quotidien devenu plus que pénible. Incivilités et menaces pleuvent.
*Souffrance de la population et violences
-violences conjugales et suicides
Le 8 janvier c’est la deuxième défenestration d’une femme de la semaine. Le 20 janvier l'Apex ou le CIDFF 66. Femmes Solidaires 66 déclarent dans la presse que la majorité des appels concernent des violences conjugales et ici, cette année et le nombre de dossiers que traités a été multiplié par deux.
-Sans abris
Le 29 janvier 2021 endormi un sdf dans le secteur de la gare routière, à Perpignan, aurait été victime de jets de cailloux par un groupe de jeunes.
-Folie et intervention policières
Le 19 janvier 2021 les forces de l'ordre et de secours ont été mobilisées dans le secteur du chemin des vignes, à Perpignan. Seul chez lui, un homme de 45 ans aurait été retrouvé en train de hurler à la fenêtre de son logement. Il sera appréhendé avant d'être transféré vers le centre hospitalier psychiatrique de Thuir.
Le 1er mars 2021 des coups de pistolet à plomb ou à billes sont dirigés contre une femme qui se trouvait sur le boulevard Anatole-France, et a soudain senti des tirs l’atteindre dans le dos. Les auteurs présumés des tirs au plomb de la place Cassanyes ont été interpellés le 8 mars dernier À l’issue de 48 heures de garde à vue, les deux auteurs présumés des tirs aux plombs survenus place Cassanyes à Perpignan ont été déférés devant le parquet. Il s’agit d’un jeune homme d’une vingtaine d’années, et d’une jeune fille de 15 ans.
La presse annonça que le 16 mars à Perpignan, une jeune femme casse le nez d’un policier de la BAC et une autre blesse une policière au visage.
-Overdose
Le 29 janvier 2021 un homme serait mort d'une overdose dans la résidence Le Carlit à Perpignan.
-Détresse psychologique dans le département
Quelques marqueurs révèlent la souffrance psychologique des perpignanais dans cette période. La presse informe le 12 février que hors Covid, la Clinique du Roussillon dédiée à la psychothérapie affiche complet, et +29% de nouveaux patients pour l'hôpital de Thuir (centre hospitalier spécialisé Léon-Jean Grégory).
*Informations diverses sur la criminalité
-trafics dans les épiceries
Le 28 janvier 2021 à 9h, les policiers du Commissariat de Perpignan intervenaient dans le quartier du Vernet à Perpignan. . Sur place, la section d'intervention, la brigade motocycliste, l'unité canine légère et la brigade financière de sûreté départementale ont procédé à des contrôles simultanés dans cinq épiceries du quartier. Les policiers ont découvert des caches abritant du tabac de contrebande destiné à la revente au détail, pour un total de 207 paquets de cigarettes.
-le quartier des Oiseaux gangréne par le trafic de drogue
Le 8 janvier la presse informe que les riverains du quartier des Oiseaux, gangrené depuis cinq ans par un tentaculaire trafic de drogue, ont pris la plume pour pousser un nouveau coup de gueule. Après une réunion technique organisée par les services de l'Etat, le 8 janvier le cabinet du maire RN Louis Aliot s'est engagé à soutenir le projet de plan de sauvegarde tant réclamé par les habitants.
-Perpignan et les communes avoisinantes dans un réseau de trafic de drogue
La presse annonça que le 8 et 11 mars 2021 une opération d’envergure a été déclenchée pour mettre un terme à un trafic de drogue mis en place dans le département. Au fil des mois, les investigations avaient permis d’établir la présence d’un réseau de revente de produits stupéfiants avec des ramifications sur les communes de Toulouges, Canohès, Thuir, Le Soler, Ponteilla, Terrats, Llupia et Ille-sur-Têt.
-Données départementales et du procureur
La criminalité du département semble stable : 2297 faits de coups et blessures en 2020 et 2019. Le 6 février 2021 le procureur de Perpignan déclare dans la presse : « la juridiction a été confrontée à une augmentation de l’intensité de ces violences sur fond d’alcool et de toxicomanie. Elle a dû faire face à des règlements de compte sur fond de trafics de stupéfiants d’une rare violence au cours du premier semestre qui démontrent les enjeux économiques de ces trafics dans le département ».
*La politique de sécurité de Perpignan au premier trimestre 2021
Au bout de 6 mois de mandat la mairie ne dispose toujours pas de réflexion sur la drogue à Perpignan. La presse évoque le 8 janvier 2021 que la mairie attend un rapport : « un diagnostic finalisé pour avancer sur la qualification de l'espace urbain [...] le projet nécessite une vraie réflexion si l'on veut se donner les bons moyens d'éradiquer complètement le trafic ». Fin mars aucune nouvelle de ce diagnostic.
*La police municipale
Le 8 janvier 2021 la presse annonce que Perpignan est dans le classement des villes possédant le plus d’agents de police (147 agents).
A la tête de la police municipale depuis le mois d’octobre, Philippe Rouch a présenté ses vœux à l’ensemble des effectifs de police. En complément des annonces sur les nouveaux postes, une brigade VTT a été créée. 15 agents sont ainsi dédiés à la proximité, notamment dans les zones de sécurité prioritaires.
Le 3 février 2021 la presse annonce que dans le premier rapport d'orientation budgétaire avec le recrutement de 27 agents de terrain ce qui représente une augmentation de 16% des effectifs policiers cette année.
Le 7 février la presse cite un recrutement d’une centaine de nouveaux agents municipaux, dont 28 policiers. Au conseil municipal de février, Louis Aliot cite 157 policiers municipaux dont 153 armés et après recrutements 181 agents dont 177 armés.
**Les Mobilités
Le 13 janvier la presse informe que depuis le 1er janvier 2021 de nouvelles mesures sont entrées en vigueur en matière de stationnement. Essentiellement, il s’agit de la 2e heure de stationnement gratuite (la première reste payante), sur les zones verte et orange. De plus, la gratuité est mise en place à partir de 18h en semaine, et toute la journée le samedi.
Le 3 février 2021 la presse annonce que dans le premier rapport d'orientation budgétaire l'instauration de la gratuité du stationnement de surface pendant les deux confinements représente à elle seule une perte d'1,3 M€ pour la Ville.
Le 17 mars 2021 Jean-Bernard Mathon de l'Alternative disait que ""le maire de Perpignan cherche à faire consensus et à gommer son étiquette d’extrême droite. Au-delà des coups médiatiques sur l’ouverture des musées et sur le soutien scolaire avec une enveloppe financière de 52 000 € à peine, Perpignan en grand, son slogan de campagne, semble du passé puisqu’aucun projet structurant n’existe sur le social, sur les transports publics hormis le tout voiture".
*Le projet de piste cyclable sur la Basse sera probablement abandonné
Le 11 février Xavier Baudry, l'adjoint au maire, délégué au territoire Ouest déclare : "Le projet n'est ni acté, ni ficelé. Il n'est pas pour l'heure prioritaire".
*Stationnement de surface : rupture avec Indigo
Lors du conseil de municipal du 16 février, la Ville lance une nouvelle procédure de délégation de service public pour la gestion du stationnement de surface. La mairie a en effet décidé de rompre son contrat avec Indigo, la société en charge de la gestion du stationnement de surface. Initialement scellé en 2018, l'accord avait été acté pour une durée de neuf ans. Le maire RN de Perpignan, Louis Aliot avait assoupli les règles en janvier 2021, en renégociant la deuxième heure gratuite, tout comme le samedi matin et la semaine dès 18 heures au lieu de 18 h 30. Le nouveau gestionnaire - ou Indigo lui-même car rien n'empêche à cette société de répondre à cette délégation de service public – pourrait gérer les horodateurs perpignanais en octobre.
**Aménagements
Le 17 mars 2021 Jean-Bernard Mathon de l'Alternative disait que" "Louis Aliot poursuit à la lettre les projets de l’ancien maire. On le voit sur la Cigale, la piste cyclable de la Basse, l’aménagement du square Jeantet-Violet ou la concession sur Saint-Jacques".
* Réaménagement du square Jantet Violet aux abords de la Place Catalogne
Le 12 janvier la presse communique que des travaux viennent de démarrer au square Jantet Violet et l’inauguration prévue au printemps. Ce nouveau parc projet initié par la précédente municipalité accueillera ur 3.500 mètres carrés une cinquantaine d'arbres et 900 plantes. L’ensemble, de circulation piétonne, sera revêtu de dalle calcaire beige. La première tranche de travaux estimée à 630.000 euros. Les travaux sur ce square en entrée de ville devraient s’achever, selon les services de la mairie, en 2022 avec l’aménagement d’une passerelle piétonne enjambant la Basse. FRENE 66 dénonce un “cimetière minéral” sur l’espace Jeantet Violet de Perpignan.
*Le services techniques municipaux aux anciens abattoirs de Perpignan et abandon du projet de tiers lieu
Le 14 février la presse annonce que la mairie de Perpignan a décidé de tourner le dos au projet initial de 10 millions d'euros visant la réhabilitation anciens abattoirs de Perpignan cette friche industrielle et abandonne le projet de réaménager le site en un tiers lieu.
*Les annonces début février 2021
Le 3 février 2021 la presse annonce que le premier rapport d'orientation budgétaire a été rendu public par la nouvelle municipalité. La Ville table sur 60 millions d'Euros d'investissements cette année sans augmentation des impôts locaux.
- parc urbain de part et d'autre de la Têt et la création d'un grand parking extérieur
L'entrée nord de la ville sera réaménagée avec la création d'un parc urbain de part et d'autre de la Têt et la création d'un grand parking extérieur de 600 places à 1 € .
- une maison pluridisciplinaire de Santé
Une maison pluridisciplinaire de Santé sera créée pour répondre à la désertification médicale dans le centre ancien censée attirer l'installation de jeunes médecins.
-Un site de restauration à destination des étudiants sera construit sur le campus Mailly
Un site de restauration à destination des étudiants sera construit sur le campus Mailly pour un coût de 700.000€.
-Réouverture d'une école municipale des Beaux Arts dans des locaux à rénover de l'ancien évêché ?
Sur le plan culturel, la réouverture d'une école municipale des Beaux Arts accessible à tous est annoncée dans des locaux à rénover de l'ancien évêché.
-Médiathèque, palais des expositions, Muséum d'Histoire naturelle
Par ailleurs une nouvelle médiathèque serait implantée dans le quartier du Vernet, tandis que le palais des expositions devrait bénéficier de différents travaux de rénovation et que le Muséum d'Histoire naturelle de la rue Fontaine Neuve devrait être entièrement repensé.
- Le parc des sports
Le parc des sports devrait être agrandi avec notamment la création de terrains supplémentaires, d'un stade de 3.000 places et d'une salle modulaire.
*Centre-ville : rue des Augustins
Le 6 février la presse annonce que la mairie préempte 27 commerces de la rue des Augustins.
*Réouverture de WC publics payants en juin 2021 ?
La presse annonce le 19 mars 2021 des nouveautés sur les toilettes publiques fermées. Depuis la fermeture des toilettes en sous-sol proches du palais de Justice et la disparition des sanisettes en surface, la ville de Perpignan ne compte plus qu'un seul wc public situé à l'intérieur de l'Hôtel de ville. Frédéric Guillaumon, adjoint au domaine public annonce un lancé un appel d'offres pour l'installation de cinq toilettes payantes peut être au mois de juin, là où il y a le plus de passage, à savoir les Allées Maillol, l'espace Méditerranée, et les places Arago, République et Cassanyes.
*Patrimoine
Le conseil municipal de Perpignan du 25 mars demande une subvention à l’Etat pour réaffectation de l’église des Grands Carmes. Dans le cadre de la politique de développement du musée d'art Hyacinthe Rigaud sera évoquée la restauration de l'huile sur toile “La transverbération de sainte Thérèse d'Avila“, par Anton Guerra, auprès du centre de conservation et de restauration du patrimoine du Conseil départemental des Pyrénées-Orientales.
"RED: [en riant] Oh, Conny. Quel merveilleux clin d'œil aux traditions.Si vous saviez l'élan de nostalgie que je ressens à voir un bureaucrate russe s'adonner avec autant de zèle à cette coutume ancestral du manque de professionnalisme."
The Blacklist série
Aujourd'hui avait lieu à Perpignan une manifestation pour la modification du nouveau logo de la mairie de Perpignan. http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2021/03/perpignan-le-maire-louis-aliot-se-la-joue-alain-chabat-dans-blason-maudit-par-nicolas-caudeville.html
Ils étaient près de 300 (comme aux Thermopyles) et ont défilé de la Place de la Catalogne à la place de la victoire, en passant devant la mairie de Perpignan. Il y avait de tout, de l'ultra gauche, en passant par les catalanistes, jusqu'aux anciens élus de l'ex-maire Jean-Marc Pujol, désormais dans l'opposition (Chantal Bruzi, Fatima Dahine, Chantal Gombert...). Il y avait aussi une forte couverture médiatique avec la présence de la chaine de télé nationale M6...Quelle fut la réponse du maire Louis Aliot, comme sur la photo, enrouler le drapeau catalan dans le drapeau français comme un rouleau de printemps, pour dire leur indissociabilité !
Mais c'est comme si à la question, "quelle heure est-il", le maire Louis Aliot répondait : "tarte aux fruits" !
Comme le maire précédent, le 19 mars, Louis Aliot a mis en berne les drapeaux de la mairie, considérant que la guerre d'Algérie ne s'est pas terminée à cette date. Mais, comme le maire Jean-Marc Pujol,
http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2015/03/jean-marc-pujol-revise-l-histoire-de-la-guerre-et-de-la-paix-en-algerie-par-nicolas-caudeville.html il n'a pas compris qu'il était le maire de tous les perpignanais. Et qu'il n'avait pas à faire état de ses émotions personnelles, en tant que représentant d'une minorité, en jouant avec les drapeaux pendus au-dessus de sa mairie... Imaginez qu'un maire picard soit élu, et qu'il mette les drapeaux en berne pour l'anniversaire de la prise d'Amiens par les espagnols, https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_d%27Amiens_(1597)
celui-ci, mettrait les drapeaux en berne pour dénoncer le manque de "franc-jeu" des assaillants qui ont joué sur la faim des habitants. Qu'ainsi, il arrêterait de respirer jusqu'à ce qu'on rejoue le match. Ou que du moins, il soit bien écrit qu'ils ont eu une attitude déloyale. Et que par conséquent : c'est une victoire volée !
Louis Aliot, ne sachant comment sortir de cette ornière s'enferme dans ses contradictions fait comme ses enfants qui ne veulent pas entendre, mettent les mais sur leurs oreilles en psalmodiant "Lalalalalala, je n'entends rien..."
Mais, le réel ne fait pas de prisonniers !
Et à moment donné, il devra faire un tri, entre ses proches et son équipe élue. C'est lui que l'élection a porté à la mairie. Les autres, n'ont aucune légitimité démocratique...
Roger Castang était en direct pour l'archipel contre attaque pour avec Mariya Marenych dans sa galerie (où a actuellement lieu une exposition ouverte des peintures de Roger Cosme Esteve ) : il nous a parlé de ses envies, ses amours d'art et ses emmerdes de galérien, heu non :galeriste...
Castang Art Project
Adresse : 39 Rue François Rabelais, 66000 Perpignan
Voir aussi :