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L'archipel Contre-Attaque

  • : L'archipel contre-attaque !
  • : Depuis les émeutes de mai 2005, la situation de Perpignan et son agglomération(que certains appellent l'archipel) n'a fait que glisser de plus en plus vers les abysses: l'archipel contre attaque en fait la chronique!
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6 avril 2021 2 06 /04 /avril /2021 21:58

"Un retraité de 83 ans a demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre les restrictions de déplacement prises par le Gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées. Le juge des référés rejette sa demande considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion."

 https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees

"La décision du conseil d'État est uniquement juridique et sans consultation scientifique.

Le Conseil d'État, comme la Cour de cassation dans l'ordre judiciaire, assure l'unité de la jurisprudence au plan national. Les décisions rendues par le Conseil d'État statuant au contentieux sont souveraines et ne sont susceptibles d'aucun recours, hormis le recours en révision ou en rectification d'erreur matérielle."

Le conseil d'État n'est pas ma coiffeuse et ses décisions ont force de loi... Habituellement et traditionnellement "le bénéfice du doute" est pour celui qui reçoit l'injonction judiciaire. Cette décision du conseil d'État renverse celle-ci ! Du point de vue de la logique, du point de vue de la science, du point de vue droit, cette décision du conseil d'État induit que l'on arrête tout de suite la vaccination, si le citoyen veut encore profiter de la liberté de circulation (droit de l'homme fondamental) qui lui reste...

 

"Y'a trop de clampins qui se disent poètes qui sortent la licence poétique dès qu'ils pondent trois merdes que personne comprend ."
  • Alexandre Astier, Kaamelott, Livre II, Le Poème, écrit par Alexandre Astier.

 

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4 avril 2021 7 04 /04 /avril /2021 15:54
 
La Librairie Torcatis de Perpignan est heureuse de vous proposer
le samedi 10 Avril 2021 à 11h et à 15h
Rencontre-Débat avec Serge Regourd autour de son dernier ouvrage
SOS CULTURE
paru aux Ed. Indigènes.
En partenariat avec L'Archipel contre-attaque et le cinéma Clap-ciné de Canet
Un facebook live sera fait en direct du Clap Ciné de Canet

« Pourquoi ce titre, SOS culture ? Parce que les politiques culturelles ne méritent plus une telle appellation, qu’il n’y a plus, à proprement parler, de politique culturelle, et que, corrélativement, l’état de la culture paraît en péril.» Serge Regourd

C’est l’ouvrage d’un homme qui dédie sa vie à la défense du modèle culturel français. Si Serge Regourd diagnostique ici un effondrement de nos politiques culturelles, exposant avec lucidité et brillance les sources et les symptômes de cette pathologie, c’est pour nous inviter à procéder à un « réattelage » entre culture et politique. Sans quoi aucune sortie de crise ne sera possible. Cela, évidemment, ne veut pas dire renvoyer à une conception totalitaire de l’art, mais bien plutôt, à l’instar de Kant, Gramsci et Arendt, de « s’intéresser à l’art d’une manière politique ». Autrement dit, d’arracher définitivement l’œuvre à la barbarie du marché, aux diktats des algorithmes pour la rendre à sa sublime vocation, définie par le poète Saint-John Perse : « le luxe de l’inaccoutumance ».

Serge Regourd est président de la commission culture de la Région Occitanie. Sa commission finance l'art et la culture sur un territoire grand comme l'Autriche avec cette année 3,2 % du budget total de la région.

Frédéric Taddeï reçoit Serge Regourd, professeur de droit, pour son livre "S.O.S culture", chez Indigène éditions

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4 avril 2021 7 04 /04 /avril /2021 15:02

 

 
Ayez confiance ... L'agence inter-France ou comment manipuler la presse de province ( dont L'Indépendant ) durant l'occupation nazie !
FB live de l'Archipel contre-attaque au toujours cloîtré Clap ciné de Canet . Mardi 6 avril à 14h30 Avec Gérard BONET , historien.Co-animé par Jérôme Quaretti et Nicolas Caudeville
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4 avril 2021 7 04 /04 /avril /2021 14:27

Perpignan : le centre d'art contemporain Walter Benjamin a perdu son nom par la vertu de ceux qui était sensés le défendre, mais la mémoire des peuples vaincus finira par triompher ; ceci est une chose commune...

http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2021/03/perpignan-face-a-louis-aliot-le-nom-de-walter-benjamin-efface-par-les-progressistes-interview-jordi-vidal-par-nicolas-caudeville.htm

 

Walter Benjamin Paris capitale du XIXe siècle et Walter Benjamin Le Passé opprimé sont des essais filmiques qui prennent la forme d’une dérive cinématographique. Nous accompagnons le poète tout autant que le philosophe dans son exploration du XIXe siècle parisien et de ses « passages » artistiques, culturels, historiques et théoriques. Ce qui est révélé au cours d’une telle exploration est une préfiguration de l’époque de Benjamin, comme de la nôtre. La flânerie parisienne initiale « de passage en passage » annonce de façon belle et significative la dérive situationniste et la psychogéographie. Cette flânerie devient, au fil des actes des deux films, une remise en cause de l’imaginaire fantasmatique de Paris au XIXe siècle, puis l’expression métaphorique d’un déplacement bien plus vaste dans le temps et l’histoire. Nous suivons le cheminement intellectuel de Benjamin qui, par une approche historique fondée sur la remémoration, en vient à contester le présent au nom du passé opprimé et à formuler une nouvelle pensée et conception de l’histoire. Réalisée à partir d’un montage d’écrits de Walter Benjamin, la voix-off des deux films traduit, à la première personne, son errance physique et intellectuelle dans le Paris du XIXe siècle, comme dans sa propre époque, celles des décennies 1920 et 1930. Elle donne à entendre la constellation des thèmes qui viennent tous contester l’image historiciste de Paris et plus globalement encore de l’histoire elle-même. La traversée critique du passé parisien est pour Benjamin une manière d’évoquer les dangers qui menacent son propre présent, tout comme le film entend le faire du nôtre. Les deux essais filmiques entrecroisent des thématiques qui, avant Benjamin, étaient toujours considérées de manière séparée. Nous explorons ce qui lie le nouveau Paris d’Haussmann « l’artiste démolisseur » à la Bourse, au capitalisme, aux chemins de fer, aux rêves d’avenir, aux barricades de la Commune de Paris et aux utopies révolutionnaires. Nous confrontons le monde de reflets des marchandises aux vitrines de magasins, aux cafés, aux Passages, aux Grands magasins, aux intérieurs bourgeois, à l’architecture en métal, aux expositions universelles et au mythe du progrès. Nous croisons les figures de la mode, de la prostitution, de l’oisiveté, de Baudelaire, du moderne et de l’éternel retour. À partir d’une déambulation urbaine et historique d’où surgissent les « images dialectiques » nous accompagnons Benjamin dans sa reformulation des notions de rêve, de réveil et de révolution. Par une nouvelle approche du temps et de l’histoire Walter Benjamin développe une théorie critique qui réfute le mythe du progrès et reformule entièrement les termes de la modernité et d’une culture toujours exposée à la barbarie. Pour ne pas réduire sa pensée à une accumulation de concepts abstraits, il confronte ses intuitions théoriques à l’histoire de la photographie, aux questions soulevées par la reproductibilité des œuvres d’art, à l’aura, à la trace. Il récuse, à partir d’exemples concrets, l’historicisme au nom de la remémoration, qu’il oppose à la mémoire ; du réveil, qu’il oppose à la catastrophe. Selon Benjamin, puisque le collectif qui rêve ignore l’histoire, il faut que le rêveur s’éveille. Pour y parvenir, pour que les choses ne continuent plus comme avant, pour éviter la catastrophe, il en appelle à dynamiter le cours de l’histoire officielle au nom du passé opprimé et refoulé. Les deux essais filmiques reconstituent la pensée et le monde du philosophe et du poète en un édifice filmique composé d’innombrables archives dynamiques. Celles-ci rassemblent des photographies et des fragments de films : les photographes que Benjamin a aimés, comme les films et documentaires qu’il a pu voir. Le film est organisé comme une déambulation en spirale qui donne à voir et à comprendre, tout autant le XIXe siècle parisien, que notre XXIe siècle. À la manière de Benjamin, les images qui composent les deux films ne sont plus seulement des images du passé, mais des images du présent : d’un présent toujours en péril. Elles expriment au plus près les idées, les intuitions du philosophe et du poète. Les deux essais filmiques témoignent de la cohérence d’une pensée qui organise les fragments comme des moments constitutifs d’un projet unitaire, mais, hélas ! Inachevé. Un tel projet retourne la dialectique négative en mettant en avant sa part de positivité ; il attribue un rôle messianique à chacun et fournit des armes théoriques pour éviter la catastrophe. Au nom d’un passé qui n’est jamais le même de par son histoire postérieure et son histoire antérieure, au nom d’un passé vaincu qui vient saturer le présent jusqu’à le remettre en cause, Walter Benjamin Paris capitale du XIXe siècle et Walter Benjamin Le Passé opprimé invitent le spectateur à un retour possible vers un autre futur.

 
Voir aussi :
 
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 22:32

Louis Aliot se voyant sans réelle opposition (ni de gauche, ni de droite, ni en même temps) a peut-être chopé "la confiance" (voir ce qu'on appelle l'hubris :Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance. Littéraire. Outrance dans le comportement inspiré par l'orgueil ; démesure).

Lorsqu'on est élu, on commet parfais l'erreur de ne s'entourer que de courtisans et autres intrigants (de toilette, enfin de basse-cour), qui vous psalmodient à l'oreille chaque jour : "Monseigneur que vous êtes bien grand !"

http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2019/07/perpignan/municipales-le-phenomene-de-cour-chez-les-candidats-ou-comment-l-auto-congratulation-rend-sourd-par-nicolas-caudeville.htm

Alors que les généraux romains triomphants lors de leur défilé après la conquête, avait un esclave qui leur tenait la couronne de lauriers et qui lui répétait Ad Nauséam (la sienne ou celle de l'esclave) quelque chose comme :"« Hominem te esse » (« Toi aussi tu n'es qu’un homme »).

Aussi ce changement de logo sera peut-être la goutte d'eau qui sera le commencement de la fin du pot au lait ? Un logo pour une logomachie !
 
 
Ce logo, par son exagération visuelle, en ce qu'il remet sur le tapis des choses que l'on croyait oubliées (drapeaux en bernes du 19 mars, parce que la guerre d'Algérie n'est pas finie pour certains, et ce des 2 cotés de la Méditerranée), a fait réagir du centre droit (l'ancien maire Jean-Paul Alduy) à l'extrême gauche (qui lorsqu'elle n'est pas "islamo-gauchiste" et très "laïcarde").
 
Certains ont même répondu à la manière de Cyrano de Bergerac par des détournements de logos !
 
C'est un peu court jeune homme, on aurait pu proposer bien d'autres choses en somme !
Ulysse revient, dans la version 31 de notre enfance ! Puis ce sont les "Beatles" qui reviennent sur la pochette de leur album "abbey road" aux couleurs catalanes. Et enfin, St Jean-Baptiste se meut en Mandalorian et l'agneau en bébé Yoda!
 
Eut-on demandé avant aux Perpignanais que cela aurait donné lieu à une saine émulation !
 
Mais, le Covid et la démocratie ne se mélangent apparemment pas en cette saison !
Perpignan/nouveau logo: les répliques des internautes à Louis Aliot,du Mandalorian aux Beatles, en passant par Ulysse 31! par Nicolas Caudeville
Perpignan/nouveau logo: les répliques des internautes à Louis Aliot,du Mandalorian aux Beatles, en passant par Ulysse 31! par Nicolas Caudeville
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30 mars 2021 2 30 /03 /mars /2021 17:30
#logo #ville #Perpignan
Le logo de Perpigan après le régime Covid #leffetavantaprès

"Vous sentez cette odeur ? C’est le napalm fiston, il n’y a rien d’autre au monde qui ait cette odeur-là. J’adore respirer l’odeur du napalm le matin. Une fois, ils ont bombardé une colline pendant douze heures, et après je suis allé au résultat. On a pas retrouvé le moindre cadavre de Viet, rien, pas un seul. Seulement, cette odeur d’essence plein les narines sur toute la colline comme l’odeur… de la victoire."

"Nous sommes des escargots sur une lame de rasoir ... C’est notre rêve ... C’est notre cauchemar !"

Film "Apocalypse Now" Francis Ford Coppola en 1979.

Moi, je vous dis un monde où tous les graphistes eussent été fusillés par le Covid !

Je me suis réveillé à Perpignan ce matin comme dans une dystopie :comme Martin Sheen dans "Apocalypse now" . Mais je n'ai pas prononcé à son instar, "Saïgon Merde Encore Saïgon Seulement Saïgon !", Plutôt, " Perpinya, merda, sempre Perpinya. Simplement Perpinya!" ( toujours comme Charlie Sheen, je me serais soulé, j'aurais terminé en slip, puis, je me serais coupé en donnant un coup de poing dans le miroir, parce que je ne supporte plus mon image.)

Bref, en allumant mon Smartphone, j'ai vu le nouveau logo de la ville de Perpignan.

Le concept du logo aurait pu être : la modernité, c'est beau comme l'antique ! Le vieux logo de St Jean-Baptiste "pimpé" succède à la marque de thon "Perpignan la Catalane !

Il semble nous dire "notre futur, c'est le passé !" Mais un St Jean-Baptiste qui semble sorti de la BD, Blueberry ou Jeremiah Johnson le film de Sydney Pollack, sorti en 1972. C'est un St Jean, baroudeur, "Badass" comme on dirait maintenant, qui n'aurait pas perdu sa tête pour une danse... Il fait plus figure de croisé avec son bâton en main (qui devait être une croix). On sent que lorsqu'il va poser son agneau, ce sera pour une bonne distribution de pains. Perpignan, une ville catholique, correcte, mais virile, qui ne tend l'autre joue, que pour mettre un bon coup de genou dans les valseuses !

https://www.youtube.com/watch?v=6d2ppfN9b4A

 

Perpignan: le maire Louis Aliot se la joue Alain Chabat dans "blason maudit"! par Nicolas Caudeville

Le tout avec un halo de lumière, #jaipasditunAliot (mais, hallo quoi!), qui détermine son état "woke", je veux dire éveillé.

Un logo dure à floquer en noir et blanc !

C'est un joli dessin a dit la maitresse. C'est vrai que c'est bien, en plus ya de la perspective. Ce n'est pas au dessin ce que le collier de nouilles est à la fête des mères. Vous me direz qu'à 10 000 balles le dessin... Sauf que, comme m'ont dit des potes graphistes : il n'est pas étudié pour être réduit ou mis en noir est blanc. Ce qui l'objectif d'un logo : être décliné sur toute une série de supports.

Un logo acheté, un slogan en guise de devise offert !

"Perpignan la rayonnante". Moi qui croyais que c'était la devise de la Hague, ville normande célèbre pour sa centrale nucléaire... Mais c'est bath, ça fait tête de gondole! On se croirait à Venise. Et c'est encore meilleur en catalan: Perpinya la radiant!

Un texte long comme un jour sans pain pour expliquer pourquoi, c'est forcé, ça va vous plaire !

"Perpignan, ville méditerranéenne ancrée dans son identité catalane, enracinée dans son Roussillon historique et pleinement française ! "

C'est bien de rappeler des principes : Perpignan, malgré le bordel, on est chez nous !

"Le blason rappelle l’histoire de notre ville, son identité catalane par ses couleurs, sa culture et ses traditions notamment par la présence de Saint Jean Baptiste qui est fêté tous les 24 juin avec la flamme du Canigo qui finit son parcours ici à Perpignan à l’occasion du solstice d’été. "

Là, on fait référence aussi au fait qu'on n’aime pas que la rousquille, et que derrière l'habillage "catho tradi", il reste toujours un fond de druidisme !

"On voit donc bien que c’est la Lumière qui est l’élément majeur, central qui fonde Perpignan et ceci depuis des siècles. Une tradition séculaire reconnue par tous et ceci bien au-delà des croyances particulières qui appartiennent à chacun. Perpignan est cette ville rayonnante que nous célébrons à travers ce nouveau logo modernisé, enraciné qui retrouve son identité tutélaire. La catalanité de Perpignan est une évidence que nous vivons tous d’ailleurs quotidiennement et librement aussi selon les sensibilités de chacun. "

On est même catalan, on est tout à la fois : Perpignan est un syncrétisme !

"Par exemple, en faisant apprendre ou non la langue catalane à ses enfants, en célébrant la sant jordi, la fête de la rose et du livre… cette catalanité s’inscrit d’ailleurs dans la République française et ceci sans ambiguïté. En revanche, et ceci est particulièrement vrai dans cette période si difficile que nous vivons avec la crise sanitaire, il nous appartient aujourd’hui de redonner à Perpignan tout son éclat, toute la lumière dont elle est en réalité porteuse depuis sa fondation. Perpignan est une ville solaire, une ville de la Méditerranée aussi, cette Méditerranée célébrée par les écrivains, mais aussi les artistes et les peintres en particulier. Ville de Lumière, ville rayonnante, elle est naturellement une ville d’art. La lumière est synonyme de beauté, de grâce mais aussi e transcendance. La Lumière invite l’homme à se dépasser, à surmonter les obstacles. La Lumière est une énergie. Cette Lumière que Perpignan porte engage aussi notre responsabilité. La Lumière est faite pour être transmise. Nous avons aujourd’hui cette responsabilité en redressant cette ville de Perpignan, en redonnant confiance à tous les Perpignanais, en donnant à chacun de trouver sa place."

Perpignan, c'est un peu la "Renaud Chamade" une ville qu'elle bien pour la conduire ! (comme dans "La cité de la peur") et son logo est au service des perpignanais !

https://www.youtube.com/watch?v=ee6N-kPal7o

Louis Aliot aurait déclaré à la presse à propos du logo  : "Écoutez, laissez la police faire son travail, dès que j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers informés !"
Toujours selon des milieux informés, il aurait rajouté en off: "barrez-vous cons de mimes!"
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25 mars 2021 4 25 /03 /mars /2021 23:08

http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2021/03/perpignan-face-a-louis-aliot-le-nom-de-walter-benjamin-efface-par-les-progressistes-interview-jordi-vidal-par-nicolas-caudeville.htm

Perpignan : le centre d'art contemporain Walter Benjamin a perdu son nom par la vertu de ceux qui était sensés le défendre, mais la mémoire des peuples vaincus finira par triompher ; ceci est une chose commune...

http://l-archipel-contre-attaque.over-blog.fr/2021/03/perpignan-face-a-louis-aliot-le-nom-de-walter-benjamin-efface-par-les-progressistes-interview-jordi-vidal-par-nicolas-caudeville.htm

 

 Le Passé opprimé Walter Benjamin Paris capitale du XIXe siècle et Walter Benjamin Le Passé opprimé sont des essais filmiques qui prennent la forme d’une dérive cinématographique. Nous accompagnons le poète tout autant que le philosophe dans son exploration du XIXe siècle parisien et de ses « passages » artistiques, culturels, historiques et théoriques. Ce qui est révélé au cours d’une telle exploration est une préfiguration de l’époque de Benjamin, comme de la nôtre. La flânerie parisienne initiale « de passage en passage » annonce de façon belle et significative la dérive situationniste et la psycho géographie.
 
Cette flânerie devient, au fil des actes des deux films, une remise en cause de l’imaginaire fantasmatique de Paris au XIXe siècle, puis l’expression métaphorique d’un déplacement bien plus vaste dans le temps et l’histoire. Nous suivons le cheminement intellectuel de Benjamin qui, par une approche historique fondée sur la remémoration, en vient à contester le présent au nom du passé opprimé et à formuler une nouvelle pensée et conception de l’histoire. Réalisée à partir d’un montage d’écrits de Walter Benjamin, la voix-off des deux films traduit, à la première personne, son errance physique et intellectuelle dans le Paris du XIXe siècle, comme dans sa propre époque, celles des décennies 1920 et 1930. Elle donne à entendre la constellation des thèmes qui viennent tous contester l’image historiciste de Paris et plus globalement encore de l’histoire elle-même. La traversée critique du passé parisien est pour Benjamin une manière d’évoquer les dangers qui menacent son propre présent, tout comme le film entend le faire du nôtre. Les deux essais filmiques entrecroisent des thématiques qui, avant Benjamin, étaient toujours considérées de manière séparée.
 
Nous explorons ce qui lie le nouveau Paris d’Haussmann « l’artiste démolisseur » à la Bourse, au capitalisme, aux chemins de fer, aux rêves d’avenir, aux barricades de la Commune de Paris et aux utopies révolutionnaires.
 
Nous confrontons le monde de reflets des marchandises aux vitrines de magasins, aux cafés, aux Passages, aux Grands magasins, aux intérieurs bourgeois, à l’architecture en métal, aux expositions universelles et au mythe du progrès. Nous croisons les figures de la mode, de la prostitution, de l’oisiveté, de Baudelaire, du moderne et de l’éternel retour. À partir d’une déambulation urbaine et historique d’où surgissent les « images dialectiques » nous accompagnons Benjamin dans sa reformulation des notions de rêve, de réveil et de révolution. Par une nouvelle approche du temps et de l’histoire Walter Benjamin développe une théorie critique qui réfute le mythe du progrès et reformule entièrement les termes de la modernité et d’une culture toujours exposée à la barbarie. Pour ne pas réduire sa pensée à une accumulation de concepts abstraits, il confronte ses intuitions théoriques à l’histoire de la photographie, aux questions soulevées par la reproductibilité des œuvres d’art, à l’aura, à la trace. Il récuse, à partir d’exemples concrets, l’historicisme au nom de la remémoration, qu’il oppose à la mémoire ; du réveil, qu’il oppose à la catastrophe.
 
Selon Benjamin, puisque le collectif qui rêve ignore l’histoire, il faut que le rêveur s’éveille.
 
Pour y parvenir, pour que les choses ne continuent plus comme avant, pour éviter la catastrophe, il en appelle à dynamiter le cours de l’histoire officielle au nom du passé opprimé et refoulé. Les deux essais filmiques reconstituent la pensée et le monde du philosophe et du poète en un édifice filmique composé d’innombrables archives dynamiques. Celles-ci rassemblent des photographies et des fragments de films : les photographes que Benjamin a aimés, comme les films et documentaires qu’il a pu voir.
 
Le film est organisé comme une déambulation en spirale qui donne à voir et à comprendre, tout autant le XIXe siècle parisien, que notre XXIe siècle.
 
À la manière de Benjamin, les images qui composent les deux films ne sont plus seulement des images du passé, mais des images du présent : d’un présent toujours en péril. Elles expriment au plus près les idées, les intuitions du philosophe et du poète. Les deux essais filmiques témoignent de la cohérence d’une pensée qui organise les fragments comme des moments constitutifs d’un projet unitaire, mais, hélas ! Inachevé. Un tel projet retourne la dialectique négative en mettant en avant sa part de positivité ; il attribue un rôle messianique à chacun et fournit des armes théoriques pour éviter la catastrophe. Au nom d’un passé qui n’est jamais le même de part son histoire postérieure et son histoire antérieure, au nom d’un passé vaincu qui vient saturer le présent jusqu’à le remettre en cause, Walter Benjamin Paris capitale du XIXe siècle et Walter Benjamin Le Passé opprimé invitent le spectateur à un retour possible vers un autre futur.
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23 mars 2021 2 23 /03 /mars /2021 18:11
"Allez, y'a plein de bruit, là ! Si ça se trouve c'est bourré d'oiseaux venimeux. Y'en a des rouges, des jaunes, des re-rouges et des pourpres ! Y bouffent que des noisettes et des escalopes de veau. Et quand ils vous donnent un coup de bec vous voyez une grande lumière et ça vous donne la diarrhée !"
 
Seigneur Perceval Kaameloot
 

Au commencement de Facebook, il n'y a pas le verbe, comme dans la Genèse(qui est Dieu et souffle à la surface des eaux), mais un algorithme : "Dans le domaine des mathématiques, dont le terme est originaire, un algorithme peut être considéré comme un ensemble d'opérations ordonné et fini devant être suivi dans l'ordre pour résoudre un problème. "

"C’est Facebook qui décide. Et plus précisément son algorithme. Auparavant appelé Edgerank, l’algorithme de Facebook dicte qui voit vos publications et qui ne les voit pas."

Mais en plus d'être la cible de Facebook, de son marché de données, et de tous ceux qui ont des trucs, voir des machins à vous vendre, vous êtes aussi l'objectif du monde entier,  de sexe plutôt féminin, enfin genre, qui veut vous vendre du sexe, en direct, en vidéo où de manière lyophilisée.

"La lyophilisation, ou anciennement cryodessiccation, est la dessiccation d’un produit préalablement congelé, par sublimation. Le solvant sublimé est généralement de l’eau, mais ce peut être également un alcool"

Pourquoi ?  Parce que vous avez pour statut "célibataire" !

Pour ces personnes, cela veut dire que la chasse est ouverte à une personne potentiellement en manque : surtout période non-réglée de COVID-19!

Cela peut commencer par un commentaire sur un post : "comment allez-vous, je ne vous dérange pas..."

Ou bien encore un message plus explicite sur Messenger avec lien à leur Facebook ou une rencontre sur What's App .

Ne paniquez pas. Il n'est pas trop tard ! 

Il suffit juste ne pas cliquer pour ne pas ouvrir la boite de Pandore !

Comment trouver chaussure à son pied entre un réel où le Covid et autres virus, vous attendent, les codes des néoféministes pour un vrai respect de la femme, et autres mines claymore chargée de shrapnel de Metoo.

La M18A1 Claymore est une mine anti-personnel utilisée par les forces armées des États-Unis depuis 1960. Elle envoie environ 700 Tweets d'acier sur une distance d'à peu près 100 mètres sur un arc de 60° dans la direction de l'avant de l'engin. Elle est utilisée principalement dans les embuscades et comme moyen de parer à l'infiltration de l'infanterie ennemie.

Là période est plutôt idéal pour la chasteté ou l'autoérotisme, parce que sur le net la situation est au moins aussi dangereuse...

Il reste toujours la possibilité, si ce n'est d'une île, d'une retraite spirituelle :

"Une retraite spirituelle est un temps que prend une personne pour prier, méditer ou d'une manière générale réfléchir à sa vie personnelle. Cela comprend une prise de distance géographique vis-à-vis du lieu où l'on vit et travaille habituellement, pour, dans la solitude d'un monastère ou d'une autre institution appropriée, réfléchir aux questions fondamentales de la vie. "

Oui, la vie monacale(qui n'est pas se faire en lousdée, se faire un resto à Monaco) est peut-être le dernier recours ...

 

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22 mars 2021 1 22 /03 /mars /2021 14:50

 

 

 Thierry Grillet (le mari Corinne Grillet ) et Maëlle Rouifed était en direct du Clap Ciné de Canet pour parler la création artistique d'ici et son enjeu culturel, social, politique et économique: soutient à la création, diffusion... Co interviewés par Mariya Marenych, Patrick Sommier et Nicolas  Caudeville ; toujours reçu par notre aimable hôte Jérôme Quaretti.
 
La création musicale catalane mérite-t-elle d’être soutenue ?
Oui ! (L’est-elle ? Non !)
Pourquoi ne l’est-elle pas ?
 
Parce que les institutions qui sont censées promouvoir et défendre la culture et la création préfèrent importer, par syndrome provincialiste, ce qu’elles ne savent ni voir, ni entendre, ni remarquer.
 
Salles de spectacle, médias publics, ne font pas ou peu de diffusion, pas de promotion extérieure, comme si la production musicale d’ici devait nous faire honte, comme ci celle-ci n'était pas de qualité.
 
Dans les autres territoires, il est naturel de présenter et d’être fier de ce qui est produit. Pourtant, des légumes bio à la scène locale, ce que nous faisons est de qualité. Pascal Comelade, Cali, Les Liminanas, ont été d’abord connus à l’extérieur. Et les élites locales ne les ont fêtés et reconnus qu’après, en faisant croire qu’elles les avaient soutenus dès le départ. Ici, on ne soutient que le folklorique, que le divertissement, ce qui ne remet culturellement rien en cause. Ou alors, lorsqu’on parle de culture, on ne sort pas son revolver, mais sa bétonnière (quand le bâtiment va, la culture aussi ?).
 
Archétype des protagonistes de cette situation, la radio publique France-Bleu Roussillon, dont les programmes sont plus liés à une représentation folklorique du territoire, façon "l'aççant catalan, rugby et cargolade", que consacrés aux débats et à la monstration de la production culturelle sérieuse. Et ce, au prétexte du "concernant" des auditeurs : "concernant" des auditeurs, qui doit les maintenir concernés, en maintenant simultanément l'audimat.
 
Donc, rien à leur reprocher, puisque l’audimat est au rendez-vous ?
 
Oui. Une radio de service public, n’est pas là pour faire de l'audimat, mais pour proposer des programmes enrichis et plus denses que ce que peut proposer une radio privée qui vit de la publicité, et qui utilise le moins-disant culturel pour rallier la majorité paresseuse des neurones.
 
Question, pourquoi France Bleu Roussillon(, ne fait-elle pas l’essentiel ) /ne participe pas en partie /de sa liste de diffusion (on ne va pas tout de même pas dire, "play-list") avec des groupes d’ici ?
Autre question, pourquoi la majorité de la programmation du soir est-elle issue de la programmation nationale depuis Paris, et pas le miroir de ce qui se passe ici ?
Pourquoi, lorsque la radio est partenaire d’événements, se contente-t-elle d’en faire l’annonce ; et de ne jamais (sauf pour le rugby) les retransmettre en direct ou en différé ? (exemples... diffusion de concerts en direct, présentation de sorties d'album d'ici etc...)
 
 
Vidéo MYSTIQUES LITTÉRAIRES ET MUSICALES EN TERRE D'AQUI Thierry Grillet  et Maëlle Rouifed interviewés par Mariya Marenych, Patrick Sommier et Nicolas Caudeville en direct du Clap Ciné de Canet
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22 mars 2021 1 22 /03 /mars /2021 14:00

 

LES STARS OUBLIÉS DU CINÉMA FRANÇAIS...
...EXTRAITS DE FILMS PROJETÉS DEPUIS LA SALLE & FACEBOOK LIVE de l'Archipel Contre Attaque ...
... VENDREDI 26 MARS à 11h00 depuis le Clap Ciné de Leucate.
Une discussion et des extraits de films autour de deux personnages oubliés du cinéma Français :
Le réalisateur HENRI DIAMANT-BERGER et ses 108 films réalisés et produits entre 1915 et 1972.
L'acteur THOMMY BOURDELLE qui apparaît dans un peu plus de quatre-vingts films entre 1921 et 1958.
Intervenants : Noël Diamant-Berger, petit neveu du réalisateur et Didier Fiala, direction Clap Ciné de Leucate.
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